En mai, notre webinaire international
intitulé Priorités de soins à domicile pour les aînés au
Canada : que pouvons-nous apprendre de l’Australie?
a suscité tellement de questions que nous n’avons pas été
en mesure de toutes les aborder en une heure. Nous avons donc demandé à nos panélistes
d’y répondre directement.
Ici, un de nos panélistes, responsable
de l’élaboration des programmes à l’ACH Group, à Adélaïde, répond à
votre question. Pour consulter toutes les réponses des trois
panélistes ou les présentations du webinaire, cliquez ici.
Q: Pouvez-vous en dire plus sur
les services australiens de soins à domicile : sont-ils basés sur le
financement, les services, la fonctionnalité?
JEFF FIEBIG:
Actuellement,
l’accès aux services « de haut niveau » dépend en partie de la
fonctionnalité individuelle, d’un système aux places limitées (114 places
par 1 000 personnes âgées de 70 ans et plus) et de subventions
par patient pour certains services (services à domicile et communautaires de
base, socialisation, etc.). Voici la description la plus complète du système actuel.
Les réformes « Living Longer. Living Better. » préconisent :
a. L’uniformisation
des critères d’accès aux soins à domicile et communautaires;
b. L’uniformisation
des frais et de la justification des ressources;
c. L’universalisation
de la qualité, des normes, etc.
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