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26 octobre 2012

Annonce du tournage de vidéos sur les guides de pratique clinique

Au cours des dernières semaines, nous avons procédé à la captation vidéo du point de vue de divers experts du domaine des guides de pratique clinique (GPC) de tout le pays pour notre prochaine série de vidéos sur cette question. Nous allons produire quatre vidéos qui brosseront un tableau des GPC au Canada ainsi que des défis et des possibilités qui s’y rattachent pour l’avenir. Nous aborderons la création de quelques-uns des principaux GPC, leur diffusion et leur déploiement et recueillerons le point de vue de ces experts sur ce qui fonctionne et sur ce qui mériterait plus d’attention.

Voici quelques photos du tournage des entrevues, qui a eu lieu dans nos bureaux au cours de la semaine. Surveillez la mise en ligne de ces vidéos à la fin de novembre!












24 octobre 2012

Prix Médias de reportage sur la santé

La semaine dernière, nous avons assisté à la cérémonie de remise des Prix Médias de reportage sur la santé de 2012 de l’Association médicale canadienne (AMC), à Ottawa. Ces prix rendent hommage au journalisme sur la santé qui « aide à mieux comprendre la santé, le système de santé et le rôle des professionnels de la santé ».

Les lauréats de cette année ont écrit des articles sur une vaste gamme de sujets relatifs à la santé – allant des soins en fin de vie aux risques de l’amiante pour la santé, en passant par les camouflages du gouvernement et les soins dentaires dans le Nord.

Nous sommes des lecteurs assidus du blogue de Maclean Science-ish, rédigé par Julia Belluz, qui a gagné dans la catégorie des « médias numériques » pour son reportage sur les politiques éprouvées en matière de santé. Science-ish traite de sujets scientifiques dans un langage clair et réussit bien à expliquer simplement des questions complexes en matière de santé. Constatez-le par vous-même!

L’AMC présente également quatre nouvelles catégories cette année : médias numériques, enjeux émergents en santé et reportages à caractère multiculturel et international. Une lauréate particulièrement intéressante à nos yeux a été celle de la catégorie des enjeux émergents – Jennifer Tryon, de Global National News, pour son reportage sur la crise du logement à Attaawapiskat. L’AMC a choisi les déterminants de la santé comme enjeu de l’année, et Jennifer a su décrire les répercussions profondes de déterminants comme la pauvreté et le logement sur les personnes et la collectivité.

Nous tenons à transmettre nos félicitations à tous les lauréats, en espérant qu’ils poursuivront leur important travail d’information, pour faire la lumière sur les questions de l’heure dans le domaine de la santé au Canada.

Voici les lauréats des Prix Médias 2012 de reportage en santé:


Prix Michelle-Lang d'excellence d'un reportage imprimé - Grand reportage commandité par le Collège des médecins de famille du Canada
Lisa Priest, Globe and Mail - End of life
Mention spéciale: Janet French, The StarPhoenix - The lost children; dental issues plague northern families

Excellence d'un reportage imprimé sur la santé- Grands journaux
Sharon Kirkey, Postmedia News - Who will stop the pain? Canada's silent epidemic of suffering

Excellence d'un reportage imprimé sur la santé - Journaux intermédiaires
Louisa Taylor, Ottawa Citizen - Unhealthy welcome: Why Canada is hazardous to their health

Excellence d'un reportage télévisé - Actualités
Dany Croussette, Michel Rochon, Patrick André Perron, Gilles Turcotte, Ronald jr Roy, Normand Bourget
Radio-Canada - L'état d'urgence
Mention spéciale:  Kelly Crowe, Melanie Glanz, David MacIntosh, CBC News - Frozen eggs trade


Excellence d'un reportage télévisé - Grand reportage
Joseph Loiero, Terence McKenna, Gil Shochat, Alex Shprintsen, CBC News, The National - Fatal deception
Mention spéciale: Lucy Van Oldenbarneveld, Jennifer Beard, CBC News - Kathleen Petty interview

Excellence d'un reportage radio
Alison Motluk, Jim Handman, Bob McDonald , CBC Radio, Quirks & Quarks - Cheating the clock
Mention spéciale: Carol Off, Jeff Douglas, Kevin Robertson, David McDougall, CBC Radio, As it Happens - Refugee health changes

Excellence d'un reportage imprimé et radio ou télédiffusé à caractère local
Sonja Koenig, Kate Kyle, Sara Minogue, Joanne Stassen, CBC North - Cancer: A northern journey
Mention spéciale: Heather Rivers, Woodstock Sentinel Review - The sad truth : Prescription drug use

Excellence d'un reportage imprimé ou électronique - Enjeu émergent des soins de santé
Jennifer Tryon, Global National News - Attawapiskat housing crisis
Mention spéciale: Jennifer Tryon, Global National News - Refugee health cuts

Excellence d'un reportage imprimé ou électronique sur la santé à caractère multiculturel
Sudha Krishnan, OMNI Television - Diabetes - Fighting a leading killer in the South Asian community

Prix Norman-Bethune d'excellence d'un reportage imprimé ou électronique à caractère international Tanya Springer, Joan Webber, Pam Bertrand CBC Radio 1, The Current - Of mothers and merchants
Mention spéciale: Dominique Forget, L'actualité - La peste blanche est de retour

Excellence d'un reportage sur la santé dans les médias numériques
Julia Belluz, Macleans.ca - Science-ish on evidence-based health policies

22 octobre 2012

Mon stage au Conseil canadien de la santé

Yvonne Tse est l’une des lauréates de l’édition 2011-2012 du Défi de l’innovation en santé. Son prix lui a valu la chance de faire un stage au Conseil canadien de la santé. Consultez ici sa présentation primée. 

Travailler au Conseil canadien de la santé a constitué une extraordinaire expérience d’apprentissage qui permettait de se familiariser d’une façon incroyable avec les questions d’actualité dans les soins de santé. Dans un premier temps, travailler dans une organisation nationale était très impressionnant. Mais le personnel, extrêmement compréhensif et d’un abord facile, a facilité la transition à mon rôle de stagiaire, ce stage couvrant les quatre derniers mois. Par conséquent, j’ai pu participer à la préparation de plusieurs rapports de haute qualité en fournissant un soutien à la recherche. Avec ces projets, mes compétences en recherche se sont perfectionnées et mes connaissances et mon point de vue sur l’actuel système de soins de santé du Canada se sont élargis.

J’ai effectué des analyses environnementales sur des sujets comme les soins intégrés et les lignes directrices en matière de pratique clinique, en ciblant des activités particulières dans chaque secteur de compétence au Canada. C’était une occasion de faire fond sur les compétences en recherche acquises jusqu’à présent au cours de mes études d’infirmière. Il est facile de simplement recueillir et résumer des informations, mais la partie la plus intéressante et la plus difficile consiste à apprendre comment analyser de façon critique les informations recueillies afin d’établir leur solidité et leur applicabilité.

Une autre expérience exceptionnelle vécue cet été a été le privilège d’assister à certaines réunions des conseillers du Conseil canadien de la santé. Je me suis trouvée dans une situation complètement nouvelle, où je pouvais écouter leurs conversations et leurs discussions sur les projets en cours et entendre leurs opinions sur divers sujets des politiques de la santé; ceci a incontestablement contribué à ma compréhension des processus d’élaboration des politiques qui se déroulent en coulisse à l’échelle nationale. La somme de dévouement, de temps et d’effort consacrée aux discussions sur les problèmes et les projets relatifs aux soins de santé était absolument impressionnante.

En ce moment, je commence ma troisième année du programme de Sciences infirmières à l’Université McMaster, et j’espère pouvoir transférer à mes stages cliniques et à d’autres aspects de ma carrière d’infirmière les nouvelles connaissances que j’ai acquises au Conseil canadien de la santé. Mon expérience au Conseil de la santé m’a aidée à me rendre compte que j’ai encore beaucoup à apprendre et m’a encouragée à chercher à l’avenir des occasions d’enrichir ma connaissance du système de soins de santé. J’espère que mon expérience incitera d’autres étudiants à poser leur candidature

Yvonne Tse & Galina Gheihman


17 octobre 2012

L’importance de la participation du patient

Récemment aux États-Unis, les médecins de trois hôpitaux ont rendu accessibles à leurs patients les notes médicales inscrites à leur dossier. Ces notes comprenaient notamment des résultats d’examens ainsi que la description détaillée du diagnostic du médecin et du plan de traitement prévu.

Pourquoi rendre ces notes disponibles? À la fin de l’année, Dre Joann Elmore (auteure de l’étude) révélait que les patients lui avaient dit avoir l’impression d’être plus compétents à prendre soin d’eux et que consulter ces notes les aidait à mieux comprendre leurs problèmes médicaux et à prendre leurs médicaments correctement.

Des 5 390 patients qui ont répondu à des questions dans le cadre de l’étude de Dre Elmore, de 77 à 87 % ont dit se sentir en contrôle de leurs soins, et de 60 à 78 % ont dit respecter davantage la prise de leurs médicaments.

Au Conseil canadien de la santé, nous sommes conscients de l’importance de la participation des patients à leurs propres soins. En 2011, nous avons établi que les patients qui participent à leurs soins perçoivent que leur santé est meilleure et font un meilleur usage des services et des ressources du système de santé.

Malheureusement, nous avons aussi constaté que seulement 48 % des Canadiens se disent mobilisés et estiment participer pleinement à leurs propres soins de santé. Comme les patients qui participent à leurs soins ont plus de chances de participer activement à la prévention des maladies, au dépistage et à des activités de promotion de la santé, il y a de quoi être préoccupé.

Nous avons organisé un Symposium national sur la participation des patients l’an dernier à Toronto, ainsi qu’une assemblée publique sur cette question à Vancouver. Nous sommes continuellement confrontés à l’importance que revêt la participation du patient et à la nécessité d’inclure la voix des patients au moment de concevoir et d’offrir des services de santé au Canada. Lisez notre rapport complet sur la participation des patients en cliquant ici.

16 octobre 2012

Mon stage au Conseil canadien de la santé

Galina Gheihman est l’une des lauréates de l’édition 2011-2012 du Défi de l’innovation en santé. Son prix lui a valu la chance de faire un stage au Conseil canadien de la santé. Consultez ici sa présentation primée


Le programme de stage d’été du Défi de l’innovation en santé a été une expérience très complète et exceptionnelle. Non seulement il offrait une occasion d’apprentissage inégalable centrée sur le système de soins de santé canadien, il me permettait aussi de découvrir le monde du travail dans un milieu accueillant. 

Dès ma première journée, j’ai pris en main quelques petits éléments de plusieurs projets, grâce auxquels j’ai pu approfondir ce qui me paraissait le plus intéressant. On m’encourageait à m’exprimer et les idées nouvelles étaient bien reçues, ce qui me confirmait que ma contribution était utile aux travaux. Mais ce que j’ai le plus apprécié, ce sont les relations nouées au cours de cet été. Le Conseil de la santé compte un grand nombre d’employés enthousiastes et bien informés, toujours prêts à partager leurs connaissances et à offrir leur collaboration.

L’une des expériences les plus marquantes de cet été a été de participer à la réunion du Conseil en juin. Elle se tenait à Toronto, et on nous avait invités à une rencontre pour observer les délibérations. Pour couronner la journée, la cérémonie de remise des prix du Défi de l’innovation en santé avait lieu le soir même, dans le cadre prestigieux du Faculty Club de l’Université de Toronto. Cet événement nous offrait une occasion exceptionnelle de rencontrer personnellement certains des conseillers que nous avions pu observer plus tôt dans la journée et de faire la connaissance des autres lauréats du Défi.

Cet automne, je commence ma troisième année à l’Université de Toronto, où j’étudie la neuroscience et la physiologie. Mon travail auprès du Conseil de la santé peut à première vue paraître éloigné de mes études actuelles, mais je n’ai pas le moindre doute que les connaissances que j’ai acquises cet été sur les politiques de la santé et sur le système de santé canadien continueront d’inspirer mes études et ma carrière.

Quand je réfléchis à cet été plein de péripéties, je n’arrive pas à croire que tout cela a commencé par la présentation d’un projet au Défi de l’innovation en santé, mais je suis vraiment contente de l’avoir fait! J’encourage tous les étudiants partout au pays à songer à concourir cette année, car ce n’est pas seulement une façon fantastique de faire connaître ce que les pratiques novatrices de la santé peuvent accomplir dans leur collectivité, c’est peut-être aussi la première étape d’une épopée incroyable!

- Galina Gheihman

12 octobre 2012

L’intégration des soins intéresse – Succès du symposium du Conseil de la santé

Murray Ramsden, conseiller,
Conseil canadien de la santé
Intégration. Avec « durabilité », c’est un des mots code habituels des discussions et des débats dans les cercles des soins de santé. Mais qu’entendons-nous exactement par intégration? Et, ce qui est plus important, comment y arrive-t-on? 

Mercredi, je participais au symposium sur les soins de santé intégrés en tant que vice-président du Conseil canadien de la santé. Mais j’ai aussi suivi les interventions – des orateurs principaux comme des prestateurs de première ligne – dans l’optique de quelqu’un qui a géré un hôpital et une régie régionale de la santé.

Je pense que le Dr Dennis Kodner a parfaitement planté le décor au début de la journée en offrant sa perception des facteurs clés de la réussite et des pièges potentiels de l’intégration. Il a fait certains commentaires significatifs sur la nécessité du courage, ce qui correspond tout à fait à la vérité : les personnes qui essaient de procéder à une intégration centrée sur le patient font face à de nombreux obstacles, dont l’inertie, le « tribalisme » des professionnels et des organisations, le manque de cohérence des politiques, des règlements et du financement, et les divergences quant aux rôles et aux philosophies cliniques chez les prestateurs et dans l’ensemble des secteurs (et ce n’est que le commencement).

Tous les gestionnaires de la santé (et tous les ministres de la Santé) devraient afficher au-dessus de leur bureau une citation du Dr Kodner : « La question n’est pas de faire rentrer les gens dans le modèle – elle est de trouver un modèle qui répond aux besoins des gens. » On a débattu de ceci toute la journée, en particulier de l’importance de la participation des patients et de la collectivité à l’élaboration de modèles de soins intégrés qui leur conviennent. Nous ne devrions pas tenir pour acquis que nous nous y connaissons.

La conférence du Dr Kodner était suivie d’une table ronde sur des solutions prometteuses pour la réalisation de l’intégration des soins, avec des présentations sur les équipes interprofessionnelles, sur l’accroissement de la participation des patients et de la collectivité et sur le rôle des gestionnaires de cas, un sujet qui semblait intéresser particulièrement le public. Le Dr Charles Wright, modérateur de la table ronde et l’un de mes confrères au Conseil, a conclu la discussion en nous rappelant que certains des éléments communs des systèmes ayant réussi l’intégration – comme les équipes interprofessionnelles, l’élargissement du champ d’exercice et la réforme de la rémunération des médecins – exigent une action politique énergique, ce qui peut être tout un défi puisque certains de ces changements seraient « déplaisants, politiquement parlant ». J’ai apprécié la franchise des commentaires du Dr Wright. Nous devons parler plus ouvertement de ces difficultés et de la manière de les résoudre. Nous avons aussi besoin de gestes courageux, de la part des politiciens comme des prestateurs.

Au cours de la journée, j’ai pris particulièrement plaisir aux nombreuses présentations sur les soins intégrés par des prestateurs de première ligne. Ils nous ont parlé de stratégies et de programmes novateurs qui amènent des améliorations dans des domaines tels que les transitions des soins, les communications entre prestateurs, l’accès aux soins et la participation des patients. Mais les grandes initiatives de première ligne en matière d’intégration ont besoin que les chefs de file de la santé et les gouvernements leur apportent un soutien plus important. Nous devons être prêts à nous attaquer aux questions de rémunération des médecins et de champ d’exercice, à accélérer l’adoption des dossiers de santé électroniques, et à réviser les politiques qui empêchent les progrès. Les provinces et les territoires qui avancent rapidement dans ces secteurs pourront fournir de meilleurs soins. Dans dix ans, les autres se retrouveront bloqués au même endroit.

Pour finir, le discours de l’honorable Fred Horne, ministre de la Santé de l’Alberta, lui a valu les éloges de l’assistance : « La meilleure présentation qu’un ministre de la Santé n’ait jamais faite. » M. Horne a défini les trois priorités de la province en matière de santé – soins de santé primaires, soins continus et santé mentale – ajoutant que les réformes appliquent une philosophie globale : cesser de faire à l’hôpital ce que l’on peut faire dans la collectivité. Au cours de la période de questions, plusieurs participants l’ont interrogé à propos de la décision de l’Alberta d’éliminer les autorités régionales de la santé au profit d’une vaste organisation, les Services de santé de l’Alberta. M. Horne a expliqué que les motifs de ce changement étaient, entre autres, le désir de pouvoir traiter toute question stratégique de façon uniforme dans toute la province, de normaliser et de réaliser des économies de coûts plus importantes. La démarche de l’Alberta et le déroulement de ses réformes semblent avoir éveillé un fort intérêt. Nous sommes heureux que le ministre ait pu se joindre à nous, d’autant plus qu’il s’agit pour l’Alberta de sa première année en tant que membre du Conseil canadien de la santé.

Je me suis senti stimulé par les idées proposées au symposium, et je regrette seulement de n’avoir pas pu participer à toutes les présentations. Je vous encourage à lire les descriptions des pratiques novatrices dans le programme du symposium, à visionner les présentations correspondantes et à ajouter à vos signets le Portail de l’innovation en santé du Conseil de la santé, une source intarissable d’idées. Nous pouvons éviter les doubles emplois et accélérer le rythme des projets de chacun en mettant en commun ce qui donne des résultats.

Par Murray Ramsden, conseiller, Conseil canadien de la santé

1 octobre 2012

Nous continuons de payer trop cher les médicaments génériques

Une nouvelle étude du Centre for Health Services and Policy Research de l’Université de la Colombie-Britannique publiée cette semaine révèle que comparativement au niveau international, les Canadiens continuent de payer trop cher pour des médicaments génériques. En réalité, un article signé par l'auteur de ce rapport, Michael Law, fait même une analogie entre les prix gonflés de nos médicaments génériques et le fait de payer 60 $ pour un café chez Tim Horton.

En 2010, notre rapport intitulé Prix des médicaments génériques au Canada : Quelles sont les répercussions? avait permis de découvrir que les prix internationaux pour les médicaments génériques dans 10 autres pays développés étaient de 15 à 77 % moindres que ceux de la moyenne des prix canadiens. Malheureusement, on se rend compte que peu de choses ont changé depuis.

Ce rapport ne souligne toutefois pas que la plupart des provinces font des progrès et travaillent activement à réduire le prix des médicaments génériques pour leurs résidents. En juin, les premiers ministres du Canada ont convenu de mettre en commun leur pouvoir d’achat pour obtenir des baisses de prix, et ils se sont réunis la semaine dernière pour finaliser les détails de cette stratégie. Il s’agit là d’une étape positive et nous sommes impatients de voir les répercussions de cette approche.

Il est essentiel que nous continuions de travailler à abaisser les prix afin que les Canadiens puissent avoir accès aux médicaments dont ils ont besoin. En 2011, nous indiquions que 23 % des Canadiens les plus malades aux prises avec des problèmes chroniques avaient déjà sauté une dose de médicaments en raison de ses coûts (et 12 % de la population en général a déjà fait de même). Cette situation est inacceptable et a des répercussions considérables sur le bien-être des patients, tout en ajoutant au fardeau du système de santé.

Pour lire la version intégrale du rapport, cliquez ici.

Pour plus de renseignements sur les médicaments génériques, consultez ces articles de notre blogue (en anglais) :